De longue date, et ce jusqu’à la moitié du XX° siècle, c’était toute une population rurale qui bénéficiait d’un bon nombre de services, apportés par les nombreux artisans installés à la campagne.
Au sein de cette population, le monde paysan n’était pas pour autant exempt de toutes sortes d’interventions artisanales relatives à ses activités.
Parmi ce corps artisanal, figuraient : le forgeron, le charron, le tonnelier, le maréchal ferrant et le meunier. Ces cinq corps de métier étaient particulièrement sous la dépendance et les besoins d’une exploitation.
A l’égard de ces cinq artisans, la clientèle paysanne était très largement majoritaire. Quant aux autres corps de métier, ils bénéficiaient d’une clientèle plus diversifiée.
Parmi les cinq artisans cités ci-dessus, quatre d’entre eux intervenaient en particulier sur le plan matériel. Le meunier, quant à lui, voyait son activité plutôt orientée vers l’alimentaire, et la fabrication de moutures de céréales destinées à la nutrition des animaux d’une ferme.
Gérard Hourugou, Garlin
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